DIMMU
BORGIR, retour sur Puritanical (2001)
Edité chez Nuclear Blast
Puritanical Euphoric Misanthropia
Après
quatre albums (For al tid, Stormblast, Enthrone darkness Triumphant et Spirit
black dimensions) et un album de reprises (Goddless Savage garden), Dimmu
Borgir sort l’artillerie lourde et signe ici son meilleur album…
Production
titanesque, jeu de batterie incroyable, empathie instantanée et sonorité pure
et lisible, Dimmu Borgir délivre un album riche et foisonnant, mélodique comme
jamais ils n’avaient fait auparavant et d’une grâce cristalline…
Envoûtant
du premier au dernier morceau « Puritanical Euphoric Misanthropia »
outre un son très soigné, fait figure de masterpiece, que ce soit sur le plan
de la technique que sur l’aspect onirique et « parlant » de ses
compositions, un vrai travail d’orfèvre…
Jamais
la batterie n’a autant résonné sur un album de black sympho, sauf peut être à l’instar
du « Dusk and her embrace » de Cradle, les chants liturgiques sont
exploités merveilleusement, notamment sur « Kings of Carnival Creation »
et l’introduction « Fear and wonder » met dans l’ambiance
instantanément, foudroyant l’auditeur et collant des frissons de manière hallucinante…
Un
must total, la voix de Shagrath est métamorphosée et le son divin…
Rarement
un disque de Black metal Symphonique n’aura sonné aussi juste, c’est du pur
bonheur !
10/10
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